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Par pouruneimage le 15 Octobre 2012 à 10:11
Mademoiselle Rose est entrée dans notre vie en 2009...
C'était une petite boule de poils
qui nous avait fait craquer
alors qu'en parents tout puissants
nous avions refusé depuis toujours qu'un animal à 4 pattes
pénêtre la sphère familiale.
Puis un jour,
profitant d'une faille dans notre armure de parents despotes,
les enfants ont fait fondre nos derniers arguments contre
et Mademoiselle Rose
est arrivée.
Depuis,
j'avoue que je n'imagine plus notre vie sans elle...
elle va et vient de pièce en pièce, de lit en lit
de bras en bras...
Elle miaule et chacun içi répond à ses moindres désirs:
Lui ouvrir la porte coté jardin
ou coté rue...
remplir son bol quand de sa patte elle ouvre le placard de ses croquettes...
Lui ouvrir nos bras quand elle a besoin de calins...
Se lever la nuit pour ouvrir une fenêtre
et la laisser sortir sans porter de jugement sur ses fréquentations nocturnes...
Brosser ses longs poils brillants quand elle le veut bien...
Mademoiselle Rose
C'est un concentré de douceur
et sa seule présence
dans une pièce
apporte un apaisement aux moindres tensions.
j'aime quand elle choisit mes genoux
et que ces ronronnements s'accordent
avec le battement de mon coeur.
Musique
Lise
Ice lady
5 commentaires -
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Par pouruneimage le 11 Octobre 2012 à 13:45
Voilà! C'est officiel,
vous êtes cordialement invités
Samedi 20 octobre de 10h-20h
à venir découvrir mes dernières créations...
à papoter autour d'une tasse de thé...
à goûter des patisseries maison...
à faire des emplettes si le coeur vous en dit...
En tout cas,
à partager un moment d'échanges
joyeux et chaleureux !!!!
3 commentaires -
Par pouruneimage le 10 Octobre 2012 à 12:09
Ou
un peu de légèreté dans un monde de brutes:
Je suis une fan inconditionnelle
de toutes les images décalées mettant en scène des animaux
affublés de costumes humains.
C'est tellement plus drôle
que de voir les hommes se comporter comme des animaux,
non ????
votre commentaire -
Par pouruneimage le 9 Octobre 2012 à 15:57
J'ai repensé très précisément à
une conversation échangée avec une amie
dans ma cuisine à la Martinique
il y a de cela plus de 20 ans...
Nous attendions toutes les deux
notre premier enfant.
Véronique vendait des fleurs tropicales
sur la pointe du bout
et tous les matins venait boire un "Banane/orange préparé
par mes soins.
Nous étions dans l'effervescence
des derniers préparatifs
pour accueillir le petit être
qui allait déplacer définitivement
la trajectoire de nos priorités.
Elle me dit:
"Tu réalises que dans quelques jours, nous ne serons plus tout à fait les mêmes,
nous allons devoir vivre avec un sentiment nouveau:
L'inquiètude pour notre enfant ne nous quittera plus jamais !"
Nous avons alors éclatés de rire pour conjurer
le nuage noir qui passait sur l'inconscience de nos 20 ans.
Véronique a acouché d'un magnifique petit Simon
et notre petite fleur des îles, Anaïs
a fait de J-Y et moi
des parents comblés.
Sa jolie personnalité, son enthousiasme
nous ont donné des ailes.
Avec elle, nous avons franchi des frontières et découvert
des mondes nouveaux...
L'envie alors
de former une grande famille
s'est imposée.
Doucement,
comme une évidence
malgré la conjoncture économique incertaine
parce que
l'essentiel ne se monayera jamais.
Depuis 20 ans ont passé,
C'est énorme en expérience
mais
je sais que la peur est là, tapie dans un coin...
parce que le monde qui s'offre à nos enfants peut être dangereux,
Je tremble parfois quand ils sont loin,
quand il fait noir,
quand ils rentrent tard...
Est-ce que ce sentiment d'inquiètude est intimement lié au rôle de parents
depuis toujours
ou est-ce une caractéristique de notre siècle en mal de repère rassurant ?
Peut-on imaginer un monde où l'amour pour nos enfants
ne s'encombrerait pas de ce sentiment dévorant
qui nous grignote petit à petit l'esprit
quand l'insécurité fait partie de nos quotidiens ?
Musique
Taken by trees
Tell me
4 commentaires
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